22 mai 2018 (Fredericton, N.-B.) – BIOCON Atlantique 2018, la plus importante conférence canadienne sur le bioraffinage et la biotransformation, se déroulera les 23 et 24 mai à Fredericton, au Nouveau-Brunswick. Maintenant à sa 7e année, BIOCON 2018 est une conférence dynamique de deux jours qui engendre des discussions, crée de l’innovation et met en lumière les nouveaux projets qui transforment nos industries et entreprises traditionnelles.
La bioéconomie est une collision en pleine croissance entre des secteurs partout dans le monde. Les entrepreneurs créent des possibilités pour assurer notre sécurité alimentaire, améliorer notre santé et créer un environnement plus propre. Comptant des dizaines d’établissements de recherche privés et publics, de vastes forêts, des terres agricoles à prix abordable, et des zones côtières diversifiées, le Canada atlantique est positionné pour être un chef de file dans la bioéconomie. Des centaines d’entreprises de l’Atlantique innovent déjà dans cet espace. Avec plus de 20 conférenciers qui partageront leurs connaissances pendant les deux jours, les organisateurs ont axé le programme sur cinq thèmes : la croissance de la bioéconomie au Canada atlantique, les entreprises et la recherche appliquée, la nouvelle économie : faire du neuf avec du vieux, possibilités d’affaires : un retour aux sources, et une nouvelle façon de faire les choses. Le thème de la nouvelle économie mettra en vedette Herb Emery, titulaire de la chaire Vaughan en économie régionale de l’UNB, qui explorera comment les économies axées sur les ressources naturelles peuvent évoluer grâce à l’innovation pour débloquer une nouvelle croissance économique. Ce thème comprend aussi Nauja Bianco, du Conseil des ministres nordiques, qui partagera le modèle de la bioéconomie des pays nordiques et présentera comment ils ont permis un grand changement des industries traditionnelles grâce à la collaboration. Les deux prochains thèmes, soit les possibilités d’affaires ainsi que les entreprises et la recherche appliquée, démontreront la vaste gamme de possibilités d’affaires déjà explorées dans notre cours. Les conférenciers comprennent James McDonnell de Moosehead Breweries, qui partagera comment les flux de déchets peuvent être transformés en revenus, ainsi que Jim Cunningham de Cardwell Farms, qui démontrera comment Cardwell utilise les flux de déchets pour nourrir ses entreprises de compost et de terre. Notre thème final s’attaquera aux sujets chauds du Canada atlantique, et sera axé sur comment l’innovation en biotechnologie va au-delà des sciences biologiques et comment la bioéconomie complète le développement de l’analyse de données, de l’intelligence artificielle, de la technologie propre, et fera partie des premiers adoptants des technologies de l’industrie 4.0. « BIOCON Atlantique est le meilleur endroit au pays pour mettre en valeur des technologies, des possibilités et des projets régionaux liés à la transformation des ressources biotechnologiques du Canada atlantique. Nous croyons que la meilleure occasion de croissance est d’apporter nos industries traditionnelles dans le 21e siècle, et cette conférence offre un forum pour ces discussions », dit Meaghan Seagrave, directrice exécutive, BioNB. « Springboard Atlantic a participé à BIOCON Atlantique depuis ses débuts. Il s’agit d’une occasion clé pour les chercheurs et les entrepreneurs pour échanger des idées qui engendrent l’action. Nous avons vu les projets créés dans le cadre de cette conférence transformer nos ressources naturelles en produits de valeur qui peuvent faire croître notre économie », dit Daryl Genge, directeur général de Springboard Atlantic. La région de l’Atlantique compte une capacité importante de recherche et développement dans ce secteur naissant, démontré par plusieurs affiches universitaires qui feront partie de la séance par affiches de cette année. Des étudiants de l’Université de l’Île-du-Prince-Édouard, de l’Université du Nouveau-Brunswick, de l’Université Acadia, et de l’Université Dalhousie compétitionneront pour les prix pour affiches dans les domaines des sciences appliquées et de la technologie. Le comité organisateur est fier de présenter l’étendue des technologies et de la recherche novatrice de la région de l’Atlantique et au-delà, et anticipe les projets collaboratifs de bioraffinage qui émergeront de la conférence. À propose des organisateurs Le Collège communautaire du Nouveau-Brunswick Le CCNB est un collège moderne axé sur les étudiants et possédant cinq campus géographiquement situés au nord du Nouveau-Brunswick et à Dieppe. Le CCNB contribue au développement économique des communautés qu’il dessert, avec plus de 90 programmes convenant aux besoins du marché de l’emploi. Collège novateur et entrepreneurial, le CCNB s’adapte rapidement aux changements de l’économie et appuie les activités de recherche appliquée et encourage l’innovation. La division de recherche appliquée, CCNB-INNOV, situé à Grand-Sault, au Nouveau-Brunswick, appuie l’industrie dans le domaine de l’environnement, de l’agriculture, des bioprocédés et des boissons. Springboard Atlantic Springboard Atlantic est le réseau de commercialisation du Canada atlantique. Nous représentons l’expertise de recherche et développement collectif de 19 universités et collèges dans la région. Nous faisons le pont entre le milieu universitaire et l’industrie afin d’apporter les idées de classe mondiale au marché et d’identifier les défis industriels à résoudre. Avec plus de 10 000 chercheurs, 30 professionnels de l’engagement industriel, et plus de 6 000 ententes de recherche complétées au cours des trois dernières années, notre modèle faire œuvre d’exemple de collaboration au Canada. BioNB Moteur de la bioéconomie du Nouveau-Brunswick, BioNB connecte, appuie et défend le secteur des biosciences du Nouveau-Brunswick. BioNB fournit un appui pour le développement des affaires, le mentorat et l’accompagnement pour les entrepreneurs et les entreprises de biosciences du Nouveau-Brunswick. BioNB organise régulièrement des événements pour encourager le réseautage au sein du secteur et permettre aux entreprises, aux décisionnaires et au public d’en apprendre davantage sur les questions du jour et les tendances émergentes. En collaboration avec un brillant écosystème d’entreprises, d’établissements de recherche et de partenaires, BioNB est dévoué à la croissance d’une riche bioéconomie dans notre région. Natural Products Canada Natural Products Canada (NPC) travaille avec divers partenaires pour commercialiser des produits et technologies dérivés de produits naturels en santé et en sciences de la vie, en ressources naturelles, en agriculture et agroalimentaire, et en bioproduits durables. Soutenu par la demande croissante de solutions naturelles, NPC compte plus de 300 entreprises à son actif. NPC agit comme entremetteur et mentor auprès des entreprises et des chercheurs; sert de dépisteur technologique et de navigateur de l’écosystème pour les multinationales et les grandes entreprises; et aide les investisseurs à découvrir, développer et éliminer les risques inhérents aux possibilités. NPC a été établi en 2016 et est financé par divers investisseurs publics et privés, y compris le Centre d’excellence du gouvernement du Canada en commercialisation et en recherche (CECR), administré par le Réseau des Centres d’excellence.
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Produits naturels Canada (PNC) est heureux de partager une nouvelle initiative pour améliorer l’investissement et l’intérêt envers les PME canadiennes. En partenariat avec Nutrition Capital Network, une composante du groupe d’entreprises New Hope, la réunion des investisseurs connectera les entreprises de produits naturels à haut potentiel avec des investisseurs de partout au Canada et au monde. La réunion se déroulera au Courtyard Toronto Downtown by Marriott les 20 et 21 juin 2017.
Les entreprises sont invitées à poser leur candidature La réunion des investisseurs est une excellente occasion pour les entreprises de présenter leur entreprise à un groupe d’investisseurs d’expérience, en plus de recevoir du mentorat et des conseils de vétérans de l’industrie. La possibilité de présenter est offerte aux entreprises dans le domaine de la nutrition et de la santé et du mieux-être, y compris : alimentation naturelle et biologique, suppléments alimentaires, aliments fonctionnels, ingrédients nutritionnels, soins personnels et produits de maison naturels et biologiques, cosméceutiques, produits de consommation de santé et de mieux-être, technologie alimentaire, technologie agricole, et autres segments de l’industrie de la nutrition et des produits écologiques. Les entreprises sont invitées à poser leur candidature en remplissant le formulaire de demande en ligne. La date limite est le 15 mai 2017. Lisez l'annonce complète. La Nouvelle-Écosse a un grand potentiel pour le développement d’une bioraffinerie novatrice1/27/2017 Lisez l’article complet au novascotia.ca (en anglais seulement)
La Nouvelle-Écosse pourrait développer une bioraffinerie qui produit une solution de remplacement aux combustibles fossiles, fabriqué à partir de sources de fibres renouvelables. Le biocarburant liquide pourrait être utilisé pour le chauffage des maisons et comme carburant pour les moteurs de bateau. Le ministre des Ressources naturelles Lloyd Hines croit que cette technique pourrait augmenter la compétitivité du milieu de la foresterie et encourager la croissance économique. L’étude a été menée par le carrefour d’innovation de la Nouvelle-Écosse. Elle affirme que la fibre pourrait provenir des sous-produits des opérations forestières, de l’agriculture, et des déchets solides municipaux. Le carrefour est financé par Emera, l’Agence de promotion économique du Canada atlantique et la province de la Nouvelle-Écosse. La Conférence du Canada atlantique sur le bioraffinage est une conférence dynamique de 3 jours qui engendre des discussions et des projets et qui transforme nos ressources naturelles renouvelables en occasions d’affaires. Ces occasions font partie d’une vision pour un avenir durable et une économie circulaire où la biomasse canadienne est utilisée à son plein potentiel. Les pratiques responsables de gestion des ressources, les nouvelles technologies novatrices, et la recherche et développement au sein de nos industries traditionnelles sont des éléments essentiels de cette vision. C’est ce qui forme l’économie bio. Le bioraffinage est la plateforme de la nouvelle économie Le bioraffinage est le moyen d’atteindre un avenir durable par l’entremise de la transformation de nos ressources naturelles en produits de grande valeur comme l’énergie, les médicaments, les bioplastiques et les biocarburants. Nos ressources naturelles sont des atouts de taille qui devraient faire fonction de levier de façon durable et responsable, et être utilisés de façon à en tirer l’impact le plus positif pour notre société. Le Canada atlantique est bien placé pour être un chef de file en matière d’innovations pour la bioéconomie, avec une douzaine d’établissements de recherche privés et publics et des centaines d’entreprises qui innovent déjà en biosciences. Nos vastes forêts, nos terres agricoles rentables, et nos zones côtières diversifiées font de cette région un terrain idéal pour piloter et commercialiser des technologies de bioraffinage partout dans le monde. La Conférence du Canada atlantique sur le bioraffinage 2017 mettre en valeur les meilleurs projets en cours à l’intérieur et à l’extérieur de la région du Canada atlantique. Les participants profiteront d’une multitude d’occasions de réseautage, et de démonstrations et de visites technologiques. Soyez des nôtres à Fredericton (Nouveau-Brunswick) du 7 au 9 juin au Centre forestier Hugh John Flemming.
Meaghan Seagrave de BioNB parle de la bioéconomie du Nouveau-Brunswick. Consultez l'article complet à Huddle.Today L’histoire du Nouveau-Brunswick ressemble à celle de plusieurs régions rurales du monde – avec l’argent des contribuables étiré à son maximum pour appuyer les communautés isolées et les industries saisonnières et des commodités qui sont confrontées à des conditions économiques difficiles. Tout le monde parle du prochain essor, comme si une seule industrie arrivera à la rescousse. Examinez d’autres régions canadiennes et vous découvrirez qu’une seule industrie salvatrice n’est pas la solution. Qu’arrive-t-il lorsque vous mettez tous vos œufs dans le même panier, comme c’est le cas en Alberta, où l’ensemble de l’économie s’effondre suite à la chute du prix d’une seule commodité? Ou que ce joueur décide de quitter? À preuve le sud de l’Ontario, qui jongle les temps difficiles suite au déménagement de la production de GM et de Ford vers les États-Unis et le Mexique. La montée du Nouveau-Brunswick ne sera pas basée sur l’essor d’une seule industrie, et elle ne devrait pas l’être. La prospérité proviendra du mariage réussi entre une ancienne et une nouvelle industrie; une économie interreliée qui exige le meilleur chez les chercheurs, les visionnaires, les ingénieurs, les communicateurs; et de nos agriculteurs, pêcheurs et forestiers. Je parle bien sûr de l’économie verte. La bioéconomie. L’économie bio. Peu importe le terme à la mode qui vous accroche. Qu’est-ce que la bioéconomie?
La « bioéconomie » se rapporte à l’ensemble des activités économiques liées à l’investissement, au développement, à la production et à l’utilisation de produits et procédés biologiques de manière durable. Une bioéconomie réussie est bâtie en fonction des ressources naturelles d’une région, qui sont transformées en produits de grande valeur ajoutée comme des médicaments, des bioplastiques, des biocarburants et de l’électricité. Considérez LaForge Bioenvironmental de Saint-André au Nouveau-Brunswick, une ferme laitière et de biogaz qui transforme le fumier de vache et les déchets de pomme de terre en énergie propre et en engrais riche en nutriments. La transformation est effectuée par deux digesteurs anaérobies qui génèrent suffisamment d’électricité pour fournir l’ensemble de l’opération et 1 000 maisons dans la région. Les Pays-Bas sont un excellent exemple de région qui effectue la transition entre une économie basée sur les combustibles fossiles à une bioéconomie afin de réduire sa dépendance sur les combustibles fossiles, rencontrer ses cibles en matière de réduction de gaz à effet de serre, et renforcer l’ensemble de l’économie. Ils ont élaboré une vision politique et économie complète qui prévoit permettre une part d’énergie renouvelable totale de 50 à 60 %. Leur vision fait appel à des investissements stratégiques pour des systèmes de production bio, et d’importantes mesures incitatives et des politiques qui permettront la croissance constante du secteur. Pourquoi développer une bioéconomie? Pourquoi une région devrait-elle se tourner vers une bioéconomie? (1) Résiliente et diversifiée Les économies soutenues par une seule industrie ou commodité sont à la merci des fluctuations du marché. Une bioéconomie est une économie vaste qui exige des habiletés et des solutions des industries de la production, de l’ingénierie, de l’agriculture, du transport, des technologies de l’information, des biotechnologies et des industries et services de soutien. La bioéconomie réduit les émissions de gaz à effet de serre, contribue à la sécurité énergétique, et permet la croissance de l’agriculture, de la chimie et de l’énergie. (2) Créer des emplois hautement qualifiés ou non La bioéconomie est bâtie à partir de rien. Elle emploie une main-d’œuvre diversifiée : des cueilleurs aux vendeurs, la production, les métiers spécialisés, les techniciens de laboratoire, les chercheurs doctoraux, les programmeurs informatiques créent des solutions technologiques pour connecter ces entreprises au 21e siècle. (3) Durable sur le plan de l’environnement Une bioéconomie crée des produits et des solutions qui réduisent notre dépendance sur les produits pétrolifères. L’avenir est un monde qui utilise des carburants, des matériaux et des produits chimiques produits à partir de ressources renouvelables et de déchets d’autres procédés. (4) Tire profit et développe les compétences naturelles de notre région L'histoire du Nouveau-Brunswick est bâtie sur 150 ans d’expérience en matière d’innovation dans nos secteurs traditionnels de la foresterie, de l’agriculture, de l’aquaculture et de la pêche. La bioéconomie nous forcera à tirer profit de cette expérience et d’innover avec des solutions modernes. La bonne nouvelle pour le Nouveau-Brunswick La meilleure nouvelle? Le Nouveau-Brunswick possède tout ce dont elle a besoin pour devenir une bioéconomie et un chef de file en matière d’entreprises et de recherche bio. Nous possédons déjà 14 établissements de recherche et 111 entreprises travaillant et innovant en biosciences. La région s’ouvre aux possibilités de la bioéconomie, avec plus de 60 millions de dollars en investissement pour la biotechnologie forestière, la technologie agricole, la technologie médicale et les autres technologies depuis 2012. Les prochaines étapes Nous avons tout ce dont nous avons besoin pour attirer les grandes entreprises, créer de nouvelles initiatives, et créer des emplois et de la prospérité. Nous avons besoin de politiques et d’investissements du secteur privé pour faire avancer les possibilités. Les citoyens peuvent affecter le changement en saisissant eux-mêmes les occasions d’affaires. Le Nouveau-Brunswick en fait plus que sa part pour aider les gens à démarrer une entreprise – c’est « l’écosystème d’innovation » dont on parle souvent. La bioéconomie doit devenir plus qu’un mot à la mode – assurons notre avenir. Lorsqu’il est question de démarrer une entreprise pour la bioéconomie, BioNB est un guichet unique pour les nouveaux entrepreneurs et les petites et moyennes entreprises établies. Notre équipe diversifiée a de l’expérience en développement des affaires, en marketing, en biologie, en chimie, en TI, en commerce international, et nous voulons vous aider. Consultez le BioNB.org et communiquez avec notre équipe pour avoir accès aux services aux entreprises. Apprenez-en davantage au sujet des technologies de pointe et rencontrez la communauté des biosciences de l’Atlantique lors de la Conférence du Canada atlantique sur le bioraffinage, qui se déroulera à Halifax le 30 mai et le 1er juin. Une technologie perturbatrice qui élimine le besoin de sites d’enfouissements sera bientôt disponible sur la rive sud de la Nouvelle-Écosse, selon Peter Vinall, directeur général de Sustane Technologies, inc. basé à Chester.
Sustane a développé une technologie qui permet de transformer des déchets solides destinés aux sites d’enfouissement en produits propres et intéressants comme des pastilles de combustibles. L’usine de Sustane qui sera construite près du site d’enfouissement Kaizer Meadow de Chester détournera plus de 90 pour cent du matériel du site d’enfouissement. Vinall dit que la technologie de Sustane ne se compare pas aux autres techniques de création de la biomasse à partir de déchets, car elle diminue la contamination par les plastiques pour atteindre le seuil négligeable de 0,1 pour cent. Un point de contamination aussi bas signifie que les produits ont une valeur commerciale. « Il s’agit de la première technologie qui peut prendre les déchets bruts destinés au site d’enfouissement et les séparer en produits propres », déclare Vinall, qui a travaillé partout dans le monde dans le domaine de la bioénergie et dans l’industrie des pâtes et papiers. Sustane a remporté le concours de démarrage technologique I-3 2016, le concours bisannuel organisé par Innovacorp, qui reconnaît les meilleures entreprises novatrices en Nouvelle-Écosse. L’entreprise a remporté un total de 225 000 $. « Cette victoire nous a apporté de l’argent, ce qui est toujours important, mais il nous procure aussi la validation », dit Vinall, dont les rôles précédents comprennent le président-directeur général du AV Group au Nouveau-Brunswick. La technologie de base de Sustane a été développée par le second bailleur de fonds de l’entreprise et son dirigeant principal de la technologie, Javier De La Fuente de l’Espagne. Vinall et De La Fuente se sont rencontré il y a trois ans. « Je cherchais quelque chose du genre et ce qu’il faisait était extraordinaire. Lorsque nous l’avons combiné à l’idée du nettoyage, nous avions la solution complète… », dit Vinall. Le duo a fondé Sustane en 2014 avec son dirigeant principal des finances Robert Richardson, comptable et homme d’affaires. Le travail de construction de 15 millions de dollars de l’usine de Chester commencera au printemps. Cliquez ici pour lire l'article complet. West Fraser ouvre une usine de récupération de la lignine de 30 millions de $ à Hinton, en Alberta4/8/2016 ![]() L’usine de pâte West Fraser Timber Co. du centre de l’Alberta a commencé à produire plus que simplement de la pâte de bois pour faire du papier. L’entreprise de produits forestiers a complété son travail sur la première usine récupération de lignine à l’échelle commerciale, qui est destinée à extraire un sous-produit naturel du bois appelé lignine afin de l’utiliser pour une vaste gamme de nouveaux produits de valeur ajoutée. « Les forestiers ont longtemps cherché des façons de mieux utiliser la lignine, dit Steve Price, directeur général chez un des bailleurs de fonds du projet, Alberta Innovations Bio Solutions. La capacité de récupérer la lignine et la transformer en bioproduits verts offrira une valeur ajoutée pour la biomasse abondante de l’Alberta et contribuera à l’économie provinciale de façon durable. » En plus d’une contribution de 3 millions de dollars d’Al Bio, l’usine de 30 millions de dollars a reçu du financement du gouvernement fédéral par l’entremise de Ressources naturelles Canada et Technologies du développement durable du Canada, ainsi que des West Fraser lui-même. L’établissement est un des multiples exemples d’entreprise canadienne tirant profit de matériel durable pour créer des produits réduisant la dépendance de l’ensemble de l’économie sur le charbon, le pétrole brut et le gaz naturel. Lisez l'article complet au CanadianManufacturing.com (en anglais seulement).
Cellufuel inc. a reçu un financement de 2 152 693 $ de TDDC pour développer un carburant d’appoint renouvelable à partir de la biomasse cellulosique.
Un biocarburant d’appoint – fabriqué à partir de la biomasse et indifférenciable sur le plan chimique du carburant à base de pétrole et compatible avec les moteurs et les infrastructures du carburant actuelles – a été difficile à produire. La technologie de dépolymérisation catalytique de Cellufuel transforme le bois en diesel renouvelable ayant la qualité du pétrodiesel. Ce projet verra la construction d'une usine de démonstration dans une ancienne usine de papier journal afin de démontrer la viabilité commerciale du procédé, notamment les coûts de production et la qualité du produit. Cellufuel a obtenu 4 370 619 $ en financement supplémentaire pour une valeur totale du projet de 6 523 312 $. Cellufuel inc. est une entreprise en démarrage de la Nouvelle-Écosse axée sur la production de carburants synthétiques renouvelables à partir de la biomasse forestière. L’entreprise fera l’objet d’une visite technologique dans le cadre de la Conférence du Canada atlantique sur le bioraffinage 2016. Cliquez ici pour en apprendre davantage. ![]() Un banc d’essai prouve de plus grands volumes que prévu initialement; l’usine reçoit une cote de « recommandé » suite au premier audit de consommateur. Au Montana, Rivertop Renewables, une entreprise de nouveaux produits chimiques basée au Montana, a annoncé qu’elle avait excédé la capacité nominale de son premier établissement de production commerciale au cours d’un banc d’essai. À pleine capacité, l’usine opérée par DTI à Danville, en Virginie, est maintenant capable de produire plus de 9 millions de livres sèchent de glucarate de sodium par année, une augmentation d’environ 15 pour cent par rapport aux estimations initiales. De plus, le mois dernier, l’usine a reçu sa première cote de « recommandé » lors d’un audit de la qualité et de la chaîne d’approvisionnement par un important consommateur de l’industrie du traitement de l’eau. « La construction, le démarrage et le fonctionnement à pleine capacité à l’établissement de DTI se sont très bien déroulés, a déclaré Mike Knauf, directeur général de Rivertop. Le rythme de nos efforts prouve non seulement l’efficacité de la technologie de Rivertop, mais aussi les exigences minimales de notre processus de production exclusif. » La capacité de l’établissement de DTI permettra à Rivertop d’élargir la vente de ses produits existants tout en fournissant aux consommateurs les quantités nécessaires au développement et au testage. Le succès de cet établissement est la première étape et Rivertop prévoit construire des usines supplémentaires pour la transformation des sucres des plantes renouvelables en différents produits chimiques durables et au prix concurrentiel. Cliquez ici pour en lire plus (en anglais seulement). |